Ce billet est consacré à mes amis, qui pendant un moment de ma vie, ont partagé mon toit (ou mon jardin).
Parlons du jardin, où régulièrement, viennent aux croquettes des « habitués ». Il y a celui qu’on nomme « pépère », ça fait si longtemps qu’il est là, que des bruits courent qu’il pourrait être mon père… Il a toujours refusé de rentrer à la maison. Liberté chérie !
Il y a les petits qui naissent dans les greniers, et qui, lorsqu’ils grandissent s’en vont vers d’autres destins sans qu’on puisse les adopter.
Il y a quelques années (8 ans déjà) nous avons découvert une petite minette qui frissonnait dans la neige.
Après quelques temps d’approche, elle a décidé qu’il était temps de mener une vie plus douillette.
A partir de ce jour là, ce fut la championne des couettes…
Ses petits airs de princesse éprise de liberté, mais aimant le confort, lui avait valu le nom de Sissi.
Une nuit de 2017, sans indice préalable, elle s’est éteinte sans bruit, nous laissant pantois et bien tristes.
Au printemps de 2015, a échoué dans notre jardin un chat « déchiré de partout ! » Après l’avoir « apprivoisé », ma maîtresse l’a rentré à la maison. On peut dire qu’elle l’a raccommodé !
Sa convalescence fut tout un apprentissage !
Je vous présente donc Zadig (oui, c’est le nom qu’on lui a donné, ignorant tout de son passé qui n’avait pas l’air d’avoir été simple.)
Me revient une de ses bravades au cours de sa convalescence… Vite fait, avait été fabriquée une porte qui lui permettait de respirer l’air du jardin sans être confronté à de nouvelles blessures.
La suite en images…



Nous sommes devenus les meilleurs amis du monde.

Pendant trois années, ce fut connivence et bonne entente.

Zadig n’aimait pas les voyages. Quand on partait, il restait en famille. Par exemple, l’année de notre voyage en Allemagne, je lui ai ramené de la Forêt Noire, le fameux Bollenhut !
Zadig était un pitre. Il mettait du soleil dans la maison.
Une maladie du coeur, malgré tous les soins possibles et où il a été bien courageux, l’a emmené au paradis des chats à la fin l’été 2018. Il nous a laissé un grand vide et son évocation encore aujourd’hui, nous serre la gorge. Gardons le souvenir de sa jolie « bouille »
Dans le jardin également, une fidèle, éprise de liberté, est là depuis plusieurs années .
0n la surnomme Minette.
Elle aime les croquettes et les caresses.
Mais, malgré nos encouragements et nos propositions, elle ne veut pas rentrer dans la maison. Pour elle, le jardin, les dépendances… et l’indépendance, c’est sacré !
Cette petite séquence nostalgie s’achève.. Cette année, à Noël, j’ai essayé de me trouver un nouveau copain (entre nous, il est guère bavard)…
A la semaine prochaine. (je vous emmènerai sur les routes de Normandie…)
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