ARGENTAN, la ville (suite)

– Argentan, après une promenade autour du plan d’eau…

… ELLE et son amie se sont dirigées vers la Maison des Dentelles.

Située dans un parc agréable où les fleurs règnent tout en beauté…… elles ont découvert l’art de la dentelle.

Cette discipline mise à l’honneur ici, bien que moins connue que la Dentelle d’Alençon, fit la fierté d’Argentan aux 17e et 18e siècles. La dentelle d’Argentan, délicate et rare est réalisée à l’aiguille.

En Normandie, les plus célèbres sont les dentelles d’Alençon, Argentan, Caen et Bayeux. 

Engageantes, point d’Alençon (les engageantes sont plusieurs volants de dentelle superposés)

Bien d’autres petites villes normandes ont connu également le succès.

Volants polychromes de Courseulles.

Ces dentelles ornaient principalement coiffes et bonnets normands.

(je baisse la tête pour bien montrer la dentelle)

Ornement du costume par excellence, ce sont les hommes qui l’utilisent en premier. (L’hiver se portait les dentelles à l’aiguille, l’été celles aux fuseaux).

La dentelle de Bayeux, faite de fil blanc, aux fuseaux est pratiquée dès 1676. La Blonde de Caen, dentelle aux fuseaux également, doit son nom à la couleur de la soie utilisée, issue du cocon du Bombyx du mûrier.

Paire de barbes, blonde de Caen. (les barbes, toujours au pluriel sont des bandes qui ornent certaines coiffes).

Au début du XVIIe s, les dentelles de Venise et de Flandres ont un tel succès que les nobles  les faisaient venir à grands frais et les capitaux français fuyaient.

Col, point plat de Venise.

Colbert fait interdire l’importation de dentelles étrangères. Il donne un privilège exclusif à la Manufacture Royale du Point de France à Paris en 1665.

Paire de barbe reliées en cravate, Point de France.

La maison de la dentelle permet de découvrir également, matériels et techniques.

A l’accueil une agréable et élégante confection moderne en métal.

Un dernier coup d’œil au jardin,

mariage princier au Moyen-âge, dentelle de grillage (2013)

Quand elles quittent Argentan, elles prennent la direction de :

– Chambois : avec arrêt devant le donjon anglo-normand du XIIe, d’art roman et très bien conservé.

Elles quitteront Chambois, un des lieux de la bataille de Normandie de la 2è guerre mondiale où les Allemands étaient encerclés par les Forces Alliées, (plus de détails la semaine prochaine).

En souvenir,  FLANEL et dentelle…

DEAUVILLE, les Franciscaines, exposition (2)

André Hambourg, 2nde partie

Je feuillette à nouveau son beau livre et je termine ainsi l’exposition dédiée à André Hambourg qu’ELLE me dit avoir beaucoup aimé.

Peintre officiel de la Marine en 1952, il a beaucoup voyagé.  

     Quatre destinations préférées se dessinent à travers ses tableaux :

– Venise,

Le soir à Venise, vu du Gabrielli, 1960

Grand Canal et la Salute à Venise, 1960

la nuit à Venise, 1959

– Jérusalem,

février 1970     

Jérusalem 1971

  le mur le soir, 1971

– Abidjan

le grand marché d’Abidjan, 1971

– New-York

le matin, la neige sur Grand Army Plaza

Il peint en toutes saisons avec les effets changeants des lumières. N’oublions pas les couleurs du Sud,

Sous la tonnelle, près de Mougins, Provence, 1956

vin de Mougins, 1957

En 1962, il s’installe en Normandie, à La Thillaye, entre Honfleur et Deauville, avec sa femme Nicole.

soirée rose sur la plage à Trouville.

à la Thillaye en hiver, 1988

Il avait sa Cabine sur les planches, elles n’ont manqué d’y faire un tour.

Tout au long de sa vie, actif, toujours en possession de son carnet et de ses crayons, il aimait y consigner le soleil, les ciels et la mer aux couleurs si changeantes.

à la galerie Fabre Bénézit, 1930

Pour ses 90 ans André Hambourg voyage une nouvelle fois à Venise. Il séjourne à nouveau au Gabrielli, il peint là de nombreuses toiles de la lagune.

Le petit + : comme elle adore Venise, j’ajoute les souvenirs de Flanel en Italie…

Saint Marc aux différentes heures de la journée.

La lagune,

Comment votre Louloute imagine Flanel avec ELLE à Venise…

Homme curieux, raffiné, simple, d’une grande richesse intérieure, avec beaucoup d’humanité, aimant la perfection, André Hambourg est décédé à Paris le 4 décembre 1999 et enterré sur les hauteurs de Honfleur en Normandie.

Elles ont terminé leur journée par une petite marche sur le sable…

… toujours à Deauville, voici un coucher de soleil normand…

Je vous souhaite une bonne semaine,

A bientôt…

SISSI en ITALIE (le couple impérial à Venise)

L’année de mes deux ans, nous avons voyagé en Italie, nous en avons profité pour marcher sur les pas de SISSI. Voici en billets successifs répartis sur quatre semaines, « l’histoire de Sissi en Italie ».

Premier séjour : 1re partie

Pour des raisons politiques, l’Empereur d’Autriche, François-Joseph et sa femme l’Impératrice Elisabeth, dite Sissi, doivent se rendre en Italie. L’ambiance prévue n’est pas optimiste car les Italiens haïssent les Hasbourg.

IMG_0692.jpgIls quittent Wien le 17 novembre 1856 avec un cortège de 37 calèches. Le 20 novembre, ils font étape à Trieste. Sissi découvre alors l’Adriatique merveilleusement bleue. Le couple impérial arrive à Venise le mardi 25 novembre 1856 à bord de « l’Elisabetta ».

0012.jpgÀ la descente du bateau, ils sont invités à monter dans une galeggiante (embarcation antique et somptueuse utilisée pour les grandes occasions). Ils accostent ainsi à la Piazzetta, accompagnés de leur première fille Sophie âgée de 18 mois.

Extrait du livre « Sissi et Venise » d’Amable de Fournoux.

Sissi découvre la fastueuse Venise sous la lumière de l’automne, hélas l’accueil de la foule est glacial. Ces faits politiques réels, n’enlèvent rien à la beauté des deux héroïnes.

La première héroïne, Sissi dont le prince Alexandre de Hesse, (frère de l’Impératrice de Russie), finit par dire en écrivant au tsar : « Elle est merveilleuse… elle est unique… et… jolie comme un cœur » en même temps il raillait son accent.

La deuxième, Venise, qu’ Alfred de Musset décrivait à George Sand en 1834 en ces mots «  Venise est la plus belle chose qu’il y ait au monde. Toute cette architecture mauresque au milieu de l’eau limpide… »Photo 058.jpgÀ la descente de l’embarcation, ils franchissent les deux colonnes qui ouvrent la place à la lagune, l’une avec saint Théodore terrassant un dragon (premier patron de Venise) et l’autre avec le lion ailé, symbole de saint Marc, protecteur de Venise depuis 828

IMG_0258.jpgExtrait du très beau livre « Venise dans sa splendeur », Place Furstemberg

(la statue de l’animal mythique pèse trois tonnes et mesure trois mètres de long)

Photo 070.jpgDe leur cortège, ils admirent la surprenante architecture du palais des Doges, dont la silhouette majestueuse est un chef-d’œuvre d’art gothique avec ses arcades légères et ciselées.

IMG_0261.jpgExtrait de « Venise dans sa splendeur », Place Furstemberg

Ils passent devant le campanile, clocher de Saint Marc. Les Vénitiens l’appelaient « le maître de maisons ». Il est surmonté d’un ange doré. Il abritait cinq cloches la Marangona, (elle appelait les travailleurs), la Nona (elle indiquait l’heure de None), la Pregadi, (elle appelait les sénateurs), la Trottiera, (elle appelait les magistrats) et la Maleficio, (qui sonnait les exécutions capitales).

[Le 14 juillet 1902, le Campanile s’écroula après 1 000 ans de veille sur Venise (il n’y eut pas de victimes). Il fut reconstruit en 1912.]

Photo 093.jpgLe cortège se dirige ensuite vers la  fastueuse basilique Saint-Marc aux courbes orientales.

Photo 069.jpgLa foule vénitienne hostile aux souverains par attitude politique est sensible malgré tout à la beauté de l’Impératrice.

La basilique Saint-Marc, inspirée de l’église des Apôtres de Constantinople est construite en forme de croix grecque. Ses coupoles byzantines sont recouvertes d’écailles de plomb et surmontées de croix.

0007.jpgLeur arrivée dans la basilique Saint-Marc est saluée par un Te Deum. Ils sont impressionnés par les marbres et les mosaïques.

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Photo 085.jpgIls admireront également la Pala d’Oro. Ce retable d’or est richement décoré de 3000 pierres précieuses et 80 émaux.

Photo 076.jpgJe reprends ma lecture et je vous donne rendez-vous la semaine prochaine, après la cérémonie, place Saint-Marc.

Pour la vie de Sissi, vous pouvez aussi cliquer et consulter les chapitres suivants :

La Bavière sur les pas de Sissi

Vienne, sur les pas de Sissi

La Suisse

Autriche, Sissi et François-Joseph

L’ITALIE

Un matin du mois de mai suivant, j’ai retrouvé mes marques dans la voiture et nous avons repris notre ‘bâton de pèlerin’.

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Peu d’escales sur le parcours, notre but était l’Italie avec un programme chargé et minutieusement préparé.
Pas de thème cette fois-ci, quelques références seulement, mais du bonheur pour les yeux à chaque étape.
Après avoir traversé le Tunnel du Mont Blanc nous avons mis le cap sur Milan.
C’était la première fois que je découvrais El Duomo et je dois dire que son image au soleil couchant est restée gravée dans ma mémoire. Tout en dentelle de pierres, légèrement teintée de rose, la troisième plus grande église au monde est majestueuse. Je suis ébloui par sa forêt de flèches, ses statues et son marbre. Le lendemain, à midi, sa façade est d’une blancheur éblouissante. Sa splendeur varie selon les heures du jour.

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Les jours suivants nous avons déambulé dans Milan et en particulier dans la chic Galleria Vittorio Emmanuele II, c’est le cœur et l’âme de Milan. J’ai vu aussi la Scala ! Mais je n’ai pas pu pénétrer à l’intérieur de ce beau théâtre lyrique qui était fermé.
Après quelques nuits passées à l’Hôtel Una Casani où l’épaisseur du matelas m’a subjugué et m’a incité à faire des pirouettes et des cabrioles acrobatiques, nous avons sillonné la Lombardie vers le lac de Côme. .
A Como, nous avions un joli logis, gai, spacieux, ensoleillé avec un grand jardin où il fait bon se reposer au retour de nos promenades.

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Nous avons visité la ville en commençant par le Duomo e Broletto. Ah ces églises italiennes, même si j’y joue le clandestin je me régale ! Leur baroque me plait, elles ne sont que grandeur ou/et exubérance
Une croisière sur le lac s’imposait. Nous l’avons faite. Ce fut une belle journée avec profusion de photos. Sur les rivages nous apercevions les villes, les villages et les villas, toutes plus belles les unes que les autres dans une succession de poésie.

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Les jours suivants nous avons visité ces « petits bijoux » en détails en faisant le tour du lac, cette fois, en voiture.
A Tremezzo ce fut la découverte de la belle Villa Carlotta et de ses jardins. Un vrai bonheur pour les yeux et les narines. Flâner dans les allées nous permet de découvrir des tonnelles d’agrumes, des pergolas d’oranges, des myrrhes en cascade, des azalées gigantesques, c’est le dépaysement total avec des parfums puissants.

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web-IMG_7852-1.jpgUn autre jour, nous sommes partis à Bellagio. Le repas fut un moment privilégié et magique. Le grand hôtel-villa Serbelloni est idéalement placé à la pointe de Bellagio au bord du lac avec vue sur les montagnes encore enneigées à moyenne altitude.

web-IMG_7898-1.jpgPuis ce fut l’excursion au lac Majeur, romantique et enchanteur enchâssé dans les montagnes.

web-IMG_7963-1.jpgLà,  je marmotte dans mes vibrisses, (traduire je marmonne dans mes moustaches) eh oui, on vient de m’annoncer que je ne suis pas prévu dans l’excursion ! Heureusement que je vais visionner les films, pour ma curiosité et pour vous raconter !
En rentrant, les filles sont enthousiasmées. Elles ont commencé par l’Ile des Pêcheurs. Après avoir arpenté les ruelles typiques avec les façades des maisons très colorées, elles ont mangé au Verbano, face à Isola Bella. Il y eut le moment délicieux d’un menu tout au poisson et d’un tiramisu très conséquent. Depuis 1895, le Verbano a récolté de nombreux témoignages, elles ont reconnu diverses signatures et en particulier celle de Marguerite Yourcenar et Mussolini !

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Un petit moment de bateau et les voilà sur Isola Bella. Elles ont été émerveillées par la splendeur du Palazzo Borroméo et par ses jardins étagés sur une dizaine de terrasses. Des fleurs exotiques extraordinaires aux fragrances ensoleillées. Des roses à profusion, des parfums suaves sur fond de ciel bleu intense ! Isola Bella porte bien son nom. Elle est belle et enchanteresse.

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web-IMG_8023-1.jpgUne halte  à Stresa (c’est un peu le Deauville italien), juste le temps que les filles fassent leur « pretty women » dans les ruelles anciennes. Elles ont rapporté quelques produits de beauté et en particulier l’Acqua Di Stresa.

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Nous sommes restés encore quelques jours à Côme, le temps d’approfondir diverses visites et musées et nous avons cheminé vers Padoue et Venise en traversant des paysages harmonieux.
A Padoue j’ai bien profité de Saint Antoine et de sa basilique.

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web-Photo 122-1.jpgEt puis il y eut Venise. Unique.

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Alors là, Venise c’est quelque chose, surtout pour un matou qui n’aime pas l’eau. Il a d’abord fallu que je m’habitue au Vaporetto !
Je ne parle pas du léger balancement des gondoles qui s’accentue dangereusement quand on amorce le grand canal. !
C’est donc d’une patte un peu chaloupée (je n’ose pas dire gondolée) que j’écris les lignes suivantes.  Heureusement le gondolier était un chanteur charmeur, il nous a fait oublier les petits détails marins ! Je suis passé sous le pont du Rialto, et aussi sous le Pont des Soupirs, ce sont les deux plus célèbres qui me restent en mémoire car des ponts on a franchi, dessus,  dessous…

Il doit y avoir plus de 400  ponts à Venise. Soyons modestes, je ne les ai pas tous faits !
Un moment précieux est ancré dans ma mémoire c’est la découverte de la Basilique Saint Marc soleil couchant. Les pierres sont mordorées et la façade métissée de traditions occidentales et orientales force l’admiration.

Je savoure aussi cet autre instant attaché à la place Saint Marc : la halte au Caffé Florian (c’est le plus ancien de Venise –1720-), le plus célèbre et le plus luxueux. Les dégustations sont accompagnées d’un orchestre de chambre qui invite les gens à danser sur la célébrissime place.

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Un jour je suis sagement resté dans un palazzo au bord du grand canal, pendant que ma maîtresse et son amie sont allées visiter les îles. Murano (c’est l’île des verriers), Burano (c’est l’Ile de la Dentelle et des maisons colorées) et Torcello (pour faire un pèlerinage sur les pas de Tolkien. Eh oui, le célèbre auteur du Seigneur des Anneaux était à Venise en 1955, ville qu’il admire beaucoup, accompagné de sa fille Priscilla, il est allé jusqu’à Torcello.
Comme un proche de ma maîtresse est un spécialiste de Tolkien, elles avaient les références indispensables pour mener à bien cette promenade.
Pendant leur escapade dans les îles elles m’ont donc laissé seul dans la chambre, et je dois confesser que l’idée m’est venue pendant cette journée de solitude de grimper à pic sur les murs tendus de tissus. En effet, ce bel effet moiré m’appelait irrésistiblement. Je dois une fière chandelle à mon self-contrôle, sinon, j’imagine bien les traces de mes belles griffes sur ce beau tissu bien tendu ! C’eut été un chat-crilège ! Comme je cultive la paresse, je me suis sagement assis devant la fenêtre et j’ai regardé défiler gondoles et vaporetti. C’est un ballet incessant, coloré, animé. C’est la vie à Venise, j’y ai rêvé, encore rêvé, si bel et si bien que je me suis endormi dans cette vaste et élégante chambre vénitienne.

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Après un petit tour en vaporetto, cette fois je suis aguerri, nous regagnons notre voiture. On traverse la Vénitie, l’Emilie-Romagne, une partie de la Toscane, pour arriver à Florence.
Firenze !
Je suis arrivé à Florence, enchanté par les paysages de la Toscane !
Ne pas oublier, je miaule l’italien couramment, donc, comme ailleurs, rien à Florence ne m’a échappé. L’arrivée à notre hôtel situé au bord de l’Arno, à deux pas du Ponte Vecchio s’est très bien passée. De là nous avons pu admirer cette ville hors du monde et hors du temps. Je m’étais préparé culturellement et intellectuellement à en prendre plein les mirettes pour ne pas passer à côté de l’essentiel. Pari réussi, c’est la ville d’art par excellence. Avant de visiter les musées et les églises, nous avons flâné dans les rues du quartier historique. Là, nous avons découvert le Duomo le plus célèbre de Toscane, le baptistère et la Cathédrale Santa Maria Del Fiore (Sainte Marie des Fleurs).

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web-Photo 210-1.jpgUn peu plus loin, la Basilique Santa Croce nous a permis de découvrir, entre autres, les tombeaux de Michel-Ange, Galilée, Rossini et l’imposant cénotaphe à la mémoire de Dante.
Florence c’est un bijou, un hymne à la Renaissance, avec des noms prestigieux, Botticelli, Michel-Ange, Donatello. Un moment de bonheur avec des clichés à tout va !

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Les filles ont fait la rituelle promenade le long de l’Arno vers le Ponte Vecchio et sa traversée. Ma maîtresse n’a pas résisté à l’appel des belles échoppes !
Puis elles ont cheminé vers la place Michelangelo, la montée est un peu fatigante, mais le panorama en vaut la peine !
C’est la carte postale par excellence avec El Duomo au centre ! Les filles en ramèneront de bien belles photos !

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web-Photo 280-1.jpgA l’hôtel où nous restions, la cuisine était excellente et italienne. J’ai vu mes deux accompagnatrices se régaler, en particulier d’une mémorable côte de bœuf, arrosée d’un Pépoli digne d’un grand cru.

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Le dernier jour, complètement sous le charme de Florence, nous avons fini en beauté en faisant une longue promenade en calèche.
Et puis il nous a fallu quitter cette ville, avec regret, le cœur déchiré, mais notre périple continue et nous rejoignons la côte ligurienne et plus particulièrement Pise.

En arrivant à Pise, je crois que je suis malade, est-ce trop de kilomètres, trop de souvenirs, je ne vois plus correctement ! Pire je vois de travers, la preuve, j’aperçois une Tour penchée. Je suis inquiet !
En fait j’apprends qu’elle s’appelle la Torre pendente  et qu’elle penche depuis le 13ème siècle !
En fait je vais bien !
Puisque c’est normal et que c’est même cette particularité que les filles sont venues voir, je profite du panorama.

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Le soleil est éclatant et l’ensemble m’éblouit dans les deux sens du terme. Ici tout est blanc, le Duomo, le Baptistère et la Tour penchée. Tout ça sur un campo der Miracoli (champ des miracles) bien vert.

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La fin du voyage est presque là, nous avons repris la route vers le Val d’Aoste et nous sommes rentrés chez nous.