La récolte des pommes est faite. J’ai fait une escapade au pays du foie gras (que je vous raconterai bien ultérieurement), alors maintenant je me consacre à la rédaction, et, je vais vous raconter, pendant bien des semaines, mon voyage de juin 2018.
Nous avons quitté la Normandie pour rejoindre « l’amie brune » en Bourgogne. De là, tous les trois nous filons (encore) vers l’Est. Ce voyage est truffé d’escales toutes plus célèbres les unes que les autres ! Voici notre première étape :
Sur notre route, à Bregenz, au bord du lac de Konstanz, nous sommes au carrefour de quatre pays, la Suisse que l’on vient de traverser, le Liechstentein pas très loin, une petite incursion en Autriche et nous voilà en route, vers le château de Louis II, en Bavière.
Petites collines et prés verdoyants, belles montagnes, châteaux, beaux villages tout est harmonieux et nous enchante.
Quand nous rencontrons un troupeau de « brunes des Alpes » on ne peut pas s’empêcher de s’arrêter. Nous aimons leurs caractéristiques : mufle joliment ourlé de blanc, jolies cornes et oreilles poilues, sans oublier leur élégante robe brune !
Petit arrêt photographique à Nesselwang, tout près de notre première étape.
Nous touchons au but de cette première journée et nous arrivons à Füssen, ville romantique, comme on les aime et qui se situe au départ (ou à l’arrivée) de la célèbre route romantique allemande. Bientôt nous serons à Schwangau, au pied du château de Neuschwanstein.
Dans Füssen , nous cheminons au hasard des rues dont les façades décorées de cette ville médiévale nous enchantent.
Un peu plus haut veille le Haut-Château (Hohes Schloss) de style gothique.
Nous ferons également provision de la spécialité du pays : les Schneeballen, pour une dégustation ultérieure.
Füssen se trouve sur notre chemin qui se termine pour ce premier jour, tout près de là, à Schwangau, au pied du château de Neuschwanstein.
Là, le matou que je suis a une grande déception : l’hôtel qui disait accepter les « pets » et que nous avions réservé, décrète que les chats « n’ont pas lieu d’être » ici car ils peuvent provoquer des allergies !
J’entends bien que ma maîtresse discute (en plusieurs langues) et aussi sur plusieurs tons (de l’aimable au un peu énervé !). Les Teutons présents sont têtus, elle cherchera donc un hôtel qui veut bien m’héberger. Quelque demi-heure plus tard, nous sommes installés à l’Hôtel Müller et on ne le regrettera pas !
Là, je suis le bienvenu et je fais face au château de Louis II, je ne vais pas me plaindre !
A Schwangau, l’ambiance est touristique et sympathique :
Nous ferons, en fin de journée, une longue promenade au bord du lac Alpsee. Ce sont des moments inoubliables.
Prochain épisode notre visite « là-haut ».