Cette étape est le fruit d’une passion : depuis que je suis né, j’entends parler de ZERMATT. Sept lettres, tout simplement, mais depuis si longtemps le rêve de ma maîtresse ! Aller à Zermatt et voir le CERVIN (car ils sont intimement liés) ! Quand le Matterhorn nous apparait, majestueux, sur fond de ciel bleu, c’est un moment intense, empreint d’émotions et de frissons de bonheur. Il trône tel que nous l’avions imaginé…
Son rêve est devenu le mien, et, cette année, nous l’avons réalisé…


Tout d’abord, nous arrivons à Zermatt par le train-navette et nous apprécions le bonheur de déambuler tranquillement dans les rues.
Le village est entièrement piéton, seules, quelques petites voitures électriques et des calèches le desservent)
Parlons de la rue principale, la Bahnhofstrasse, où balcons et fenêtres fleuris sont bien agréables à l’œil.
Cette rue est aussi un petit régal de boutiques et de décorations, juste au goût de mes voyageuses !



L’ambiance, animée et décontractée, nous happe aussitôt et avec plaisir nous nous fondons dans le flot (au demeurant raisonnable) des touristes.
Visitons d’abord, le village et, dans les prochains chapitres, nous découvrirons le CERVIN et son histoire.
Dans la grande rue nous passons devant l’hôtel Monte Rosa, et à quatre heures, l’appel d’un chocolat est le plus fort. Nous sommes déjà sur les pas d’Edward Whimper.

Les edelweiss, sagement domestiqués, fleurissent en beauté pots et jardinières ! Ma patte ne résiste pas à caresser les douces feuilles légèrement duveteuses.
Tout en haut de la Bahnhofstrasse, proche de l’église se trouvent la fontaine aux marmottes – Murmeli-Brunnen – (1906), elle me laisse rêveur et les mascottes de Zermatt m’attendrissent.
Au dos de la fontaine, se trouve un beau bouquetin en bronze grandeur nature.
Puis nous arrivons à la « maison commune », où sur l’esplanade trône un beau cor.
C’est ici l’endroit idéal, près du cor en bronze, il suffit juste de regarder devant soi et la belle pyramide s’élève dans le ciel bleu
Ce cor en bronze a une histoire : il a été créé par des artistes italiens. Nous découvrons aussi des branches de mélèze en bronze escaladées par sept personnages (en référence aux sept premiers alpinistes qui ont atteint le sommet du Cervin en 1865. (ce sera le sujet de notre prochain billet). Le cor des Alpes a été installé en juillet 2015, à l’occasion des commémorations du 150e anniversaire de la première ascension du Cervin.
Quand nous arrivons dans le vieux quartier de Zermatt, quel bonheur tous ces chalets bruns ! Nous sommes d’emblée des visiteurs conquis par ces greniers que l’on appelle mazots et aussi raccards.






Puis quand vient le soir, tranquilles et sereins, nous regardons le crépuscule se transformer en obscurité (sans oublier l’heure de la douche).
Une phrase célèbre concernant Zermatt, dit « y aller une fois, c’est y revenir sûrement ».
Je confirme, à peine ai-je quitté (à regret), son ambiance que je n’ai qu’un désir… y revenir…. Cet endroit est unique ! Je suis envoûté.
Au-revoir Zermatt…
J’emporte avec moi, le « Toblerone » connu dans le monde entier, histoire de me régaler en douceur quand je serai rentré dans mes pénates.

A la semaine prochaine
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