ARGENTINE : les CHUTES d’IGUASSU (2)

Continuons la visite des chutes dans ce parc naturel où ELLE a eu l’occasion de croiser des animaux et une végétation inhabituels.

* la  faune :

des singes hurleurs, de liane en liane, ils se balancent au-dessus de la tête des touristes (ils aiment également chaparder le matériel des promeneurs).

des oiseaux, les oiseaux bleus au Brésil,

Au Brésil, les ? (elle a oublié le nom), ces oiseaux au beau dos rouge construisent des nids tout en longueur afin d’être à l’abri de tout prédateur.

Les geais acahé, avec leur jolie touffe sur la tête et leur poitrine blanche…  

 Elle a aussi réussi à apercevoir un toucan et un colibri…

Plus quelques autres dont ELLE a (aussi) oublié les noms…

des coatis, ce petit animal à queue crénelée…

C’est un mammifère assez social qui se promène en bande et ils frôlent souvent les pieds des touristes… (au moins les siens)

Leur guide les avait prévenues, ils sont très gourmands, ils n’hésitent pas à dévaliser les touristes de leur nourriture… Ils ont l’air très sympas… L’ennui c’est qu’ils ont des griffes énormes…

Ce sont des quémandeurs et des fouineurs !… ces gourmands n’hésitent pas à monter sur les tables des moins avertis… dans ces moments-là … ça déménage…

Deux anecdotes :

– au cours de ses promenades dans la jungle, ELLE a rencontré une pancarte…

Cette pancarte lui avait procuré quelque inquiétude quant à la lecture… Si, ELLE, savait de quel côté respecter le couloir de marche, le serpent le traduirait-il de la même manière ? Je ne suis pas certaine, à ce moment là, de sa pleine assurance.

– La deuxième est toujours due à des animaux qu’elle n’a pas l’habitude de fréquenter…le largato overo…(en bref c’est le plus grand lézard d’Argentine, il peut atteindre 1,40 m).

Alors qu’elle prenait le soleil autour d’une piscine… un lézard énorme (enfin pour ELLE) faisait aussi la sieste à quelques centimètres de sa chaise-longue… = … repos écourté… mais photo quand même… trouille n’empêche pas souvenir…

N’oublions les moments de réconfort… …

* La flore, au gré des photos…

Bruits, odeurs de la jungle, chants d’oiseaux, vols de papillons multicolores, sont des sensations extraordinaires qui imprègnent encore sa mémoire.

Pêle-mêle, l’adieu aux chutes… où la violence (terrifiante au bruit phénoménal et impressionnant) des cataratas LA subjuguait littéralement… Garganta del Diablo projette ses éclaboussures à plus de 7 km dit-on.

Après un retour à Buenos Aires et d’agréables réunions familiales…

… ce fut le vol du retour…

… je crois qu’ELLE a réveillé (très tôt) ses voisins afin d’admirer par le hublot le lever du soleil au-dessus du désert (vers Marrakech).

Flanel à son retour s’est installé dans sa valise, il lui envoyait un message clair…d’ailleurs… ELLE ne l’a plus jamais laissé…

…. quant à moi, je cherche le toucan…

A la semaine prochaine… dans des contrées plus proches…

ARGENTINE : les CHUTES d’IGUASSU (1)

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Le Conseil de Louloute : ce billet, agrémenté de photos d’une nature grandiose et spectaculaire, mérite d’être visionné sur un écran d’ordinateur (un petit écran de téléphone portable enlèvera le somptueux de cette nature hors du commun…)

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Buenos Aires, direction l’aéroport métropolitain pour une balade à  plus de 1350 km au Nord de la capitale.

Après le survol de la ville et du Rio de la Plata, clin d’œil à l’Uruguay et direction la frontière avec le Brésil.

Tout près du Paraguay, au confluent des fleuves Iguazu et Parana, dans une forêt subtropicale riche en faune et en flore, se trouvent les Cataratas del Iguazú (les chutes d’Iguassu), merveilles grandioses de la nature.

Elles sont considérées comme les plus belles au monde.

Dans un parc naturel de 67000 hectares au cœur d’une végétation luxuriante…

… dans une faille longue de 2700 mètres…

… plus de 275 chutes grondent…

Son amie et ELLE, installées au Sheraton, au cœur du parc…

…devant les chutes, ont un souvenir exceptionnel et impérissable. Que d’images extraordinaires. Le soir, de leur chambre, à la tombée du jour, elles pouvaient admirer les vautours qui tournoyaient au-dessus des chutes tourbillonnantes.

En compagnie de leur guide, elles ont visité les cataratas à plusieurs endroits. Tout d’abord en franchissant la frontière, Argentine/Brésil.

du côté brésilien, (sur 600 mètres) les chutes d’Iguaçu sont grandioses avec un bruit assourdissant. Sur des passerelles au-dessus du vide, ELLE me dit avoir fait fi de ses sensations de vertige pour profiter au maximum des panoramas.

Selon une légende guarani, un arc-en-ciel réunit deux amants séparés et transformés l’un en arbre, l’autre en rocher, par un dieu-serpent jaloux.

du côté argentin, (sur 2100 mètres), les chutes d’Iguazú, le spectacle est époustouflant et merveilleusement grandiose.

Ces chutes sont plus puissantes que celles du Niagara. Des Rideaux d’eau de plus de 70 mètres de haut tombent en rugissant et forment ainsi des colonnes d’eau et de vapeur tourbillonnantes.

ELLE me raconte avoir, également, bravé toutes ses appréhensions sur les passerelles en s’approchant de tous les bords vertigineux…

Elles ont aussi vécu un grand moment d’aventure inoubliable… la Gran Aventura … vers l’Isla San Martin.

… dans une (petite) embarcation…lancée à toute vitesse sur des rapides de plus en plus rugissants et tourbillonnants, jusqu’au pied des chutes…

Il me semble soupçonner qu’ELLE n’était pas toujours rassurée… Émotion et douches étaient au rendez-vous… mais bonheur aussi…

au pied des chutes

Elles ont également parcouru la jungle dans un véhicule tous terrains et dans un petit train écologique…

Terminons ce billet par des promenades plus douces : admirer dans le fleuve Iguassu…

… des poissons-chats É-NOR-MES avec des moustaches à défier toute concurrence… (je suis jalouse…pour les moustaches).   

Votre Louloute vous souhaite une bonne semaine.

 En souvenir de Flanel. 

PȂQUES 2022

A toutes, à tous, ELLE et moi, nous vous souhaitons de Joyeuses Pâques.

J’en profite pour vous emmener dans notre jardin, rejoindre le lapin…

…et à la maison, avec les décorations ambiance pascale.

… sans oublier les moments chocolats…

En souvenir de Pâques avec Flanel…

A bientôt.

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L’ARGENTINE : LA PAMPA

La pampa, c’est l’Argentine pampéenne avec 600 000 km2 de prairies.

Pays de l’élevage avec de la viande de grande qualité, ELLE a découvert et goûté les plaisirs de l’asado.

L’asado c’est la référence à tout ce qui peut se faire griller lentement sur une parilla (cuisson sur les braises)

Préparé par des amis Argentins, ces moments de tradition et conviviaux L’ont totalement séduite.

SON voyage se déroulait au mois de septembre, c’était donc le début du printemps de l’hémisphère Sud (là où l’eau en s’évacuant tourne à gauche et non à droite comme dans notre hémisphère Nord, elle en a rapporté une preuve… filmée, c’est la force de Coriolis).

Fleurs et fruitiers abondaient.

Les arbres… démesurés…

Dans la pampa, le village de San Antonio de Areco aux ruelles coloniales, un territoire de tradition…

Avec famille et amis, ELLE a passé une journée dans une des plus anciennes estancias du pays « La Portenia » signée Relais et Châteaux.

De la grille, une allée bordée de platanes séculaires…

… conduit à la découverte de la maison du XIXe.

Une estancia, c’est une ferme destinée à l’élevage et ce sont en général des maisons de grands propriétaires terriens où il fait bon profiter des promenades à cheval…

…avec démonstrations de polo et agilité des gauchos.

Le gaucho est un personnage mythique de l’Argentine. Il est vêtu d’un pantalon bouffant (la bombacha de campo), d’un chapeau ou d’un béret. Un foulard, une ceinture recouverte de pièces (l’escamoso) et un coutelas complètent la panoplie.

L’ombú n’est pas réellement un arbre mais une plante malgré sa taille imposante. Il s’accommode du sec climat de la pampa et il est « l’ami du gaucho » car il lui sert d’ombrage sous le soleil intense des étés argentins.

Cette journée dans les grands espaces lui a laissé de grands souvenirs,

« Leurs » chevaux, prêts à partir dans la pampa…

… sans oublier les promenades (reposantes) en calèche.

Le midi avec été servi un asado préparé dans la plus pure tradition où volutes et fumet de viandes grillées ouvraient l’appétit, ainsi qu’un goûter de délices sucrés, convivial et savoureux.

A la semaine prochaine… toujours en Argentine avec des découvertes époustouflantes.  

En souvenir de Flanel.

                   

L’ARGENTINE : BUENOS AIRES (3)

Saint-Exupéry, dans Vol de nuit, écrivait…« ce royaume sans limites (…) Buenos Aires déjà emplissait l’horizon de son feu rose… »

Quelques détails encore cette semaine pour terminer la saga de Buenos Aires.

– Quelques personnages argentins célèbres : Evita Peron (1919-1952) , Che Guevarra (1928-1967), l’écrivain Jorge Luis Borges (1899-1986), les footballeurs Maradona et Messi,  etc…

– La monnaie, c’est le peso argentin qui se divise en centavos.

– Le drapeau : trois bandes horizontales : bleu clair – blanc – bleu clair avec au centre  de la bande blanche un soleil radieux d’une jaune éclatant à face humaine (il évoque le soleil de mai lors de l’indépendance en 1810).

– les paseadores de perros : les promeneurs de chiens, ELLE a découvert avec amusement ces promenades d’une meute bien calme et variée, se promenant avec harmonie. 

Au détour d’une rue, un arbre : un ombù : majestueux, il offre son ombre contre le soleil ardent…

les découvertes culinaires :

– les empanadas (chez des amis, ELLE a goûté leurs délicieux chaussons fourrés (viande, poulet, jambon… un régal). Il y a peu, elle en a confectionné… pour que j’y goûte…

– le maté : c’est un breuvage (avec le goût un peu amer de la yerba maté) apprécié de tous, il est de bon goût de partager la petite calebasse dans lequel il est servi .

– les vitrines aux couleurs attrayantes regorgent de fruits et légumes appétissants rangés verticalement.

Toujours des découvertes dans les différents restaurants… les généreux et délicieux gâteaux, et aussi le pollo, (le poulet, comme ici en brochettes). Souvenirs gustatifs intenses, dit-ELLE.

Dans ses bagages au retour, il y eut, entr’autres, le dulce de leche  et les alfajores, ces gâteaux fourrés à la confiture de lait… un régal de fondant…

Avant de quitter Buenos Aires, un arrêt sucré au « Rond Point » emblématique du Palermo Chico, il est un lieu obligé des hommes d’affaires, politiciens, athlètes, show-biz…

… puis promenade en soirée au coucher du soleil…

Je vous souhaite une bonne semaine et je vous donne rendez-vous vendredi prochain dans la Pampa.

L’ARGENTINE : BUENOS AIRES (2)

Continuons la visite de cette capitale hors normes, à travers ses barrios chics et/ou barriolés, trésors dévoilés au fil de SA flânerie.…

– le Puerto Madero, le port, quartier chic et moderne, c’est le lieu de rendez-vous des Porteños.

On y découvre l’élégant Puente de la Mujer (le pont de la femme)…

…. avec un design tout en courbes.

Sur la digue, restaurants et dégustations étaient au programme.    

On y ‘côtoie’ également Carlos Gardel… C’est le plus célèbre des Tangueros, icône internationale du tango chanté argentin (ELLE aime ce chanteur-compositeur, par exemple un de ses morceaux les plus célèbres « Volver » plein de charme et de nostalgie. Carlos Gardel est né à Toulouse en 1890, sa mère émigre et il dira « je suis né à Buenos-Aires à l’âge de 2 ans et demi ». L’homme à l’éternel sourire charmeur est décédé dans un accident d’avion le 24 juin 1935.

  • le Microcento, où l’on peut voir :

– La Plaza de Mayo (place de Mai), place historique et lieu de fondation de l’Argentine. Cet endroit mélange édifices Belle Epoque et tours de verre. Cette place doit son nom à la Révolution de Mai 1810, prémisses de l’Indépendance proclamée en 1816.

– La Casa Rosada (Maison Rose) c’est le palais présidentiel.

– La cathédrale Métropolitana dédiée à Notre Dame de Buenos Aires, de style néo-classique (inspirée du Palais Bourbon de Paris), était le siège archi-épiscopal du Cardinal Bergoglio devenu le Pape François en 2013. Sa façade arbore douze colonnes antiques représentant les douze apôtres.

A l’intérieur, recouvert du drapeau argentin, le mausolée en marbre du libérateur de l’Argentine, José de San Martin. Il est mort à Boulogne-sur-mer en France.

L’intérieur est de style colonial espagnol, la plus ancienne pièce de la cathédrale est Le Christ de Buenos Aires (1671).

Le Café Tortoni,  avenue de Mayo, inauguré en 1858, son nom fait référence au café Tortoni de Paris 3, tenu par des Italiens et très en vogue au XIXe s.

Vitraux et boiseries lui donnent une élégante allure Belle Époque.

Le Théatre Colon, salle d’opéra et rendez-vous des mélomanes, il est considéré comme un des meilleurs au monde pour son acoustique.

Inauguré en 1908 avec l’Aïda de Verdi, Georges Clémenceau dira en 1910 « qu’il est probablement le plus beau du monde ».

– L’obélisque, avenue 9 de Julio, est le monument le plus haut de la capitale argentine (67,5m). Il a été construit en 1936. Il est le lieu de rassemblement des manifestations et fêtes (ex. la coupe du monde).

  • Le Rio de la Plata, c’est l’estuaire qui sépare l’Argentine de l’Uruguay et se jette dans l’Atlantique.

Bon POISSON d’AVRIL à toutes et à tous…

… et à la semaine prochaine…