Série vagabondages restreints – n°4.
Après notre plaisant séjour en « Haute Normandie » à Sassetot-le-Mauconduit (où je vous ai emmené sur les pas de Sissi la semaine dernière) nous avons pris le chemin du retour vers la « Basse Normandie » en longeant la Côte d’Albâtre et ses falaises blanches.
Nous prenons le temps d’un arrêt à Etretat qui était, autrefois, un modeste village de pêcheurs…
…et, est devenu au XIXè siècle, une station balnéaire en vogue.
Des écrivains (Guy de Maupassant, Gustave Flaubert), des peintres (Claude Monet, Eugène Boudin, Gustave Courbet…) participent à la renommée de ces falaises de craie blanche et des plages de galets. Ce morceau de littoral cauchois est également célèbre grâce à « l’Aiguille creuse » décrite dans une histoire de Maurice Leblanc «le père» d’Arsène Lupin.
De la plage nous pouvons apercevoir la Chapelle Notre-Dame-de-la-Garde qui veille du haut de la falaise sur les pêcheurs.
Après avoir parcouru la plage de galets (dur…dur… pour mes coussinets…)…
… et écouter un concert de mouettes…
…où j’ai l’air d’en intriguer quelqu’une…
…les filles décident (au bout d’un long moment) qu’elles ont faim (moi aussi !). J’ajoute que j’aime le poisson et nous sommes là où il faut…
Après le repas, nous découvrons un des plus anciens édifices d’Etretat, c’est le Manoir de la Salamandre. Cette maison, construction typique du Pays d’Auge, a, en fait, été re-bâtie à Etretat à la fin du 19è siècle et provient de la ville de Lisieux (le pays de Sainte Thérèse).
Après, tout est un peu confus pour moi, poisson, fatigue, voiture, sur le chemin du retour je dors… Au-revoir Etretat et ses blanches falaises.
A la semaine prochaine…